En 2019
Nous partons en Ethiopie à 3, Maria Richet, Jean-François Gillet et Françoise Goethals en novembre 2019 pour une semaine. Nous sommes accompagnés par Clara Gillet, étudiante en médecine et secrétaire des Amis du Toukoul.




Nous avons une discussion avec 3 des travailleurs sociaux qui nous exposent leur travail et nous confirment qu’ils vont pouvoir assurer une permanence le soir au retour de l’école ainsi que le week-end.

Les enfants grandissant, nous sommes maintenant confrontés à des comportements liés à l’adolescence et à des problèmes de respect et de discipline.
Nous évoquons l’embauche d’un surveillant d’internat pour la nuit.
Nous constatons que l’équipe éducative centrée sur le travail scolaire a de la difficulté à accompagner les jeunes dans d’autres projets importants et équilibrants (licence sportive dans un club extérieur par exemple).
Nous rencontrons les jeunes et leur faisons part en toute transparence de nos difficultés à collecter des fonds en France.
Ce sont les garçons qui parlent et qui sont en demande.


Ils souhaitent qu’on étudie leurs projets collectifs professionnels car ils ont des formations mais ont des difficultés à trouver du travail.
Certains nous sollicitent afin d’obtenir une des voitures du site pour monter une microentreprise de type UBER (RIDE ou ZAYRIDE en Ethiopie). D’autres nous exposent leur projet de créer une association pour venir en aide aux jeunes porteurs du VIH.


Clara Gillet a un entretien avec Abraham Bogale, jeune médecin issu de l’orphelinat, que nous avons sollicité afin d’accompagner les jeunes porteurs du VIH qui sont en souffrance.

Abraham confirme l’impérieuse nécessité d’un accompagnement psychologique et d’une éducation à la santé. Il nous remet un exposé du travail qu’il a commencé à effectuer.
Le profil des jeunes change, nous devons nous adapter et faire en sorte de soutenir l’équipe sur place.